Alors, sur ce sujet, c’est le procès de l’expertise qu’il convient de faire.
Ce cas est emblématique et bénéficie d’une publicité rare. Je crois qu’il en est de l’euthanasie (je n’aime pas ce mot) comme de la peine de mort, avec la nuance suivante : dans un cas les erreurs judiciaires peuvent apparaître quand des enquêtes ou des éléments nouveaux apparaissent. Pour les euthanasies, ce danger n’existe pas, et pour cause.
Je connais bien le cas d’un jeune homme victime d’un accident de la route. Au bout de quelques mois, les médecins ont pris la décision de le ’débrancher’, et ces affreux ont demandé à la mère de le faire. La pauvre femme était tellement déboussolée s’est exécutée, c’est rien de le dire : elle ne s’en est jamais remise.