Bonjour, Claude-Michel.
La multiplicité des sollicitations en termes de loisirs, et - pour les mêmes causes - la disparition de nombreuses sociétés d’harmonie sont sans aucun doute à l’origine de la désaffection du public pour les musiques de kiosque. C’est d’autant plus dommage que beaucoup de gens des classes populaires pouvaient naguère, grâce aux concerts d’harmonie, accéder à la musique classique en surmontant leurs complexes.