C’est vrai que ça fait plaisir de voir, sur le « selfie » (néologisme journalistico-angliciste), des gens pétés de tunes s’auto-faire plaisir dans la réjouissance des centaines de milliers de dollars, a minima, qu’ils gagnent chaque mois, et valorisés par cette seule photo.
C’est une sorte de défonce, une drogue collective qui permet de mieux vivre la vie en oubliant les malheurs de tout les autres.
Je crois voir en arrière plan Kevin Spacey, qui dénonce dans une série récente et très cynique les magouilles et les dérives du système politique américain.
L’auteur de cet article, peut-être ébloui de paillettes festivalière, a-t-il oublié d’en parler ?