Pour résumer, je retiens ce passage :
" 10% de la main-d’œuvre suffirait à produire pour tous nos besoins et
désirs matériels. On ne travaille plus pour produire, on produit pour
travailler. Pour feindre de créer du sens….«
ce qui rappelle encore une fois B. Russell : (page 12)
»Si le salarié ordinaire travaillait quatre heures par jour, il y aurait assez pour chacun, et aucun chômage - en supposant une quantité très modérée d’organisation raisonnable."
On peut aussi penser à la fourmi heureuse et productive ...