J’ai lu avec un très grand intérêt l’intégralité de la critique de Kerszberg. Elle est très intéressante. Pas facile de réhabiliter la métaphysique et la transcendance. On ne peut que procéder par tâtonnements erratiques en notre époque de positivisme pourtant sérieusement déglingué (voir les sujets des derniers numéros de Science & Vie par exemple, du plus haut comique épistémologique.
Je vais lire tranquillement le reste.