Il n’y a pas de fatalité en la matière. C’est effectivement au chirurgien esthétique de poser les limites de sa prise en charge en consultation. Le cas incroyable que vous citez des coréennes non reconnues à l’aéroport est la conséquence d’une pression sociale qui rebondit sur les plasticiens. Si la tentation existe de gagner beaucoup d’argent en profitant de l’engouement des coréennes pour l’européanisation de leur visage, le médecin doit savoir qu’il est responsable de ses actes.