Sauf au plaisir narcisse de se lire. Ce ne sont pas la part des impôts prévue par des hommes de la haute fonction publique, au nom d’hommes politiques, dont nous n’avons plus depuis longtemps la maîtrise de gestion. Ce devrait déjà plus donner à réfléchir que ce blanc seing donné de la gestion publique, donné par notre vote « pour » « contre » ou même « blanc ». Le décideur aujourd’hui est l’actionnaire de l’entreprise. Hors l’actionnariat est plus pratiqué outre atlantique, si l’on considère les caisses de retraite et autres formules... Intervenir en France demanderait d’utiliser la même arme. Que l’on se rappelle la vente à la découpe. Déjà oubliée ?