Le plus étonnant étant que les hôpitaux belges sont envahit par des résidants d’autres pays européens qui ne peuvent plus se soigner chez eux mais également par des demandeurs de greffes qui peuvent court-circuiter facilement les listes d’attente en payant le prix « ad hoc ».
Et, d’un autre coté, les hôpitaux universitaires investissent massivement ces dernières années, tant en immobilier qu’en équipement, ce qui me fait penser que ce secteur est largement bénéficiaire !