@ docdory
"Je crois que le meilleur moyen de lutte contre de prévisibles dérives
consiste à instaurer comme principe législatif intangible ( voire comme
principe constitutionnel ) la non-brevetabilité du gène et du vivant."
Vous avez raison, mais c’est trop tard. La production de lois et de réglementations dans les pays occidentaux va en grande partie dans l’autre sens. De plus, la Commission européenne est aux ordres des grands semenciers, des manipulateurs et breveteurs du vivant dans tous les domaines. Nous sommes plutôt mal barrés sur ce plan (et sur d’autres comme celui des gaz de schiste...). Désolé de m’afficher comme pessimiste, mais sauf à sortir de l’UE...