La faute à l’Europe, c’est vite dit. Derrière les institutions et dans les entreprises, il y a quand même des vrais gens sur le terrain qui bossent - ou pas - ou mal.
Plus probablement, cette bourde vient d’une équipe de guignols surpayés qui n’ont pas fait leur boulot correctement. L’enquête le déterminera.
Ce qui est inquiétant, c’est qu’on peut imaginer que pour une histoire comme ça qui sort, il y en a des dizaines dont on n’entend jamais parler. Et qui peuvent avoir des conséquences autrement plus graves. On espère par exemple que les chargés d’études et les ingénieurs des centrales nucléaires ont moins la tête en l’air.