Remarque plus que pertinente. En plus, on vous moinsse !
En 1914/1918, on envoyait plus facilement en première ligne les ruraux. Voir les monuments aux morts de ces villages du Finistère, où le nombre des jeunes fauchés, vis à vis de la population d’alors est sans commune mesure. Rien à voir, me direz-vous, mais même état d’esprit.