« le conseiller du président, François de Grossouvre (...) dit :
« De toute façon, ce n’est pas perdu pour tout le monde,
la commission, on va la filer à Le Pen.
On va financer le Front national. »
Et il raconte tranquillement ce qu’ont imaginé
les socialistes pour lancer Jean-Marie Le Pen. » »
En Tunisie, le parti socialofasciste de Ben Ali, le RCD assumait publiquement et en même temps les tâches du PS et celles du Front National.
Rabatteur de la formoisie arriviste et outil fasciste.
En France, il y avait deux vitrines différentes. En tout cas à l’intérieur des frontières de la France (Le PS en Afrique a toujours été un parti socialofasciste soutien des dictatures franceàfric et organisateur du crime esclavagiste des salaires à 1/20° du SMIC.)
Mais ces deux vitrines - PS et FN - François Mitterrand les gérait en même temps.
MITTERRAND VERITABLE CHEF DES DEUX
AGENCES FASCISTES PS-FN en France
Mitterrand utilisait pour surveiller et protéger sa maîtresse Bernard de Courcelle, chef du service d’ordre de Le Pen. (Dans Noir Silence François Xavier Verschave fit cette révélation)
Mitterrand imposa, en juin 1983, aux radio-télévisions de tendre le micro à Le Pen.
Mitterrand modifia la loi électorale pour permettre au Front National d’avoir des députés en 1986.
Pendant ce temps, il amusait la galerie avec son complice Julien Dray, lui-même marionnettiste de Harlem Désir et rabatteur de la jeunesse naïve et.... anti-fasciste
Ce qu’on ignorait encore - bien qu’on le soupçonnait - c’était le financement direct du Front National par le chef des socialofascistes.
Ce financement, on vient de commencer à entendre les premières preuves.
Il a fallu trente ans pour que les aveux de l’assassiné de l’Elysée - Grossouvre - parviennent au public.