Euh, cher Spartacus, pourriez-vous faire l’effort intellectuel de réfuter mes arguments avec des faits plutôt que d’affabuler sur mon statut.
Sachez, cher contradicteur ne reculant pas devant le mensonge que je ne suis point retraité, et que je cotise au régime général des salariés du privé, vous savez, ceux qui permettent aux assistés du patronat de se gaver.
En conséquence, en plus de ne répondre en rien à mon commentaire, le vôtre n’est qu’un tissu de mensonges. Quel intérêt ?