Je n’ai pas voté et considère, certes un peu abruptement, ceux qui le font comme les principaux soutiens de nos oppresseurs et donc comme les premiers adversaires de ma liberté.
Car ils sont en nombre suffisants pour faire la peau à ceux qui, comme moi, considèrent la soumission volontaire à une autorité comme une maladie mentale.
À un autre époque ces gens furent, avec raison, appelés « collabos ».