Aucune bonne intention,une simple application servile des directives européennes de d’ouverture à la concurrence
Cette Réforme n’est pas amendable et le mot d’ordre qui s’impose dans les AG est celui du retrait pur et simple
Le Figaro et La Croix sont inquiets quant à la capacité des directions syndicales à imposer une « ligne réfomatrice » face aux « radicaux »
Comme s’il y avait le moindre radicalisme à vouloir preserver son statut,comme si tous ceux qui s’opposent aux injonctions de l’Union européenne devaient être traités comme des rebelles
Le vrai radicalisme,c’est la frénésie de destruction qui anime ce gouvernement dans tous les domaines
C’est bien le « tous ensemble » qui est à l’ordre du jour et pas seulement à la SNCF et ni Le Paon ni personne n’a les moyens des’y opposer