@ Alpo 47 :
« Dommage pour les dirigeants Brésiliens (et les nôtres) qui comptaient bien faire oublier les problèmes économiques et sociaux... » Et pour un qui le veut, il y en a toujours un qui ne le veut pas. Absolument pas.
Je voudrais bien qu’on regarde au ralenti, seconde par seconde, le film de la blessure a Neymar. L’avant, le pendant et l’apres. Les gestes et aussi les visages et les expressions des protagonistes. Et qu’on revoit aussi minutieusement tous les autres facteurs humains et technques qui ont pu conduire a ce résultat.
PJCA