Le ton (excusez) de l’article est assez surprenant : j’étais loin d’imaginer une flotte jap aussi organisée et « acceptée » par les gouvernements. On comprend mieux le drapeau de Sea Shepherd (noir) et la détermination de P. Watson. Apparemment les japonais n’ont pas lu que les poissons risquaient de disparaître des océans. Merci à l’auteur de nous rappeler que le braconnage illégal s’industrialise partout.