C’est tout de même curieux de voir des gens débattre de la politique de la France, comme si nous étions dans les années 70-80, comme si la souveraineté du pays n’avait pas été transférée à Bruxelles.
Et c’est une attitude assez répandue, puisque le jeune Renzi cultive la même en Italie. On peut donc lui prédire une gamelle monumentale dans les trois ou quatre mois à venir. Mais il en faudra bien plus pour déciller les eurobéats...