Tu veux dire que pour la première fois de mémoire d’homme, le but du (de la ?) ministre de l’éducation nationale ne sera pas de réduire les coûts, mais de changer les mentalités ?
(note : réduire les couts = réduire les salaires ou les bénéfices, mais comme là on parle d’un service public, ça veut dire réduire les salaire)
Ce serait glorieux en effet, même si on ne répond pas ici à la bête question « changer pour quoi ? ».
Tellement glorieux que je n’y crois pas même pas une seconde...