Je m’en veux de m’en prendre aux personnes mais puisqu’ils font passer leur fonction, leur carrière, leur sécurité (1) (la démocratie s’en trouvant dévoyée)... Et ce, d’autant plus que les griefs contre eux sont fondés : sans revenir sur l’insulte faite aux enseignants, madame le vice-recteur avance des données chronobiologiques favorables à l’après-midi.
Or, Claire Leconte qui justement, en 1998, a lancé un appel pour une « chronopsychologie anti-gourou » appelle pour une matinée plus longue que l’après-midi, commençant le plus tôt possible, après un petit-déjeuner de qualité... Cela ne relève-t-il pas de la responsabilité des parents (niés par la réforme) et d’un bon sens à la portée de tous ? ... Exception faite des élites censées nous conduire et qui en tiennent une couche pas piquée des vers !!!
Nous faut-il toujours subir de la part d’une oligarchie d’incapables ? Assez de ce mépris généralisé ! Assez des insultes gratuites contre des enseignants qui ne feraient qu’une demi-journée ! Ne tolérons pas la tartuferie d’une administration qui impute aux autres ses propres déficiences !
Madame Nathalie Costantini, le vice-recteur de Mayotte ne mérite aucun respect de notre part pour l’attitude honteuse et bornée qu’elle affecte en tant que servile courroie de transmission du pouvoir central !
(1) Un inspecteur m’a répliqué qu’un enseignant n’avait pas à tenir compte de son honnêteté mais seulement de sa sécurité ! (1992)