Je partage votre sentiment, me trouvant plutôt satisfait de l’héritage culturel qui est le mien (bien qu’étant fils de prolétaire), d’autant plus volontiers que ceux que nous qualifions de déshérités ne se considèrent pas forcément comme tels. Mais la soumission au progrès, ou plus précisément à la technique est contagieuse et portée par le nombre et des idéologies sommaires qui y trouvent leur compte. Il s’agit donc de lutter contre la montée de celles-ci comme de celui-là.