Je trouve tout cela merveilleux !
Aux origines, le rail britannique était privé. De gros bénéfices ont été réalisés à cette occasion.
Une fois le temps des déficits venus, on nationalise.
Puis, le système ayant été remis sur pattes (si j’ose dire s’agissant de trains), on privatise. Le privé pompe les ressources, s’engraisse.
Maintenant que le système est en pleine déliquescence, le privé en ayant siphonné tous les actifs, on veut le nationaliser à nouveau.
Ce qui je dit du rail britannique s’applique en fait à passablement d’activités dans passablement de pays.
Elle est pas belle la vie dans le monde merveilleux et efficace du capitalisme ?