Toutes les campagnes, politiques ou autres, flattent les individus et exacerbent l’identité, sinon du dogme, au moins de l’électeur, par définition. La question est de savoir où mène l’identitarisme, ou plutôt où il nous mène... L’Europe qui abat les frontières physiques, voit s’en ériger des mentales par voies de frustrations séculairement refoulées... Arrive ce qu’arrive... les instincts ont remplacé les lumières et la culture sera bientôt une tare sociale.
D’ailleurs, votre carte est déjà à revoir : La Crimée y apparaît comme fièrement ukrainienne, mais tout-le-monde peut-se tromper, surtout en ces temps de crises de girouettôses aigües.