@ Forest Ent
Pas de viol caractérisé, pas de témoins. Juste la nana avec je vivais, terrorisée, qui avait quand même eu le sang-froid de dire à son agresseur qu’il lui plaisait, mais qu’elle préfèrerait baiser avec lui dans un lit. Ce connard prétentieux lui avait alors donné son adresse. C’est pourquoi je n’avais eu aucun mal à le retrouver.
Après, quoi ? Aurait-il fallu que je le bastonne jusqu’à ce qu’il avoue et que je le traîne au commissariat le plus proche ? Il faisait nuit, le plus proche commissariat était loin et j’avais pas envie de passer plus de temps que ça avec ce salopard. Je lui ai détruit son appartement, fait main basse sur ses économies (c’était un fumier de dealer éduqué dans une culture et une religion dont je ne dirai rien sous peine de me faire traiter de raciste et d’islamophobe) et je lui ai piqué ses revenus illicites non-déclarés au fisc en lui disant que la prochaine fois, je ne serais pas aussi cool. Et la violence, c’est pas mon truc sauf en cas d’extrême urgence vitale. Je suis plutôt d’une nature pacifique, mais pas passifiste-pacifiste.
Au commissariat, que ce serait-il passé ? Rien. Pas de preuves, pas de témoignages. Je n’ai fait qu’un misérable simulacre de justice particulière, tout ce que je pouvais faire.