Le pseudo artiste a choisi la provocation.
Il a été pris au mot.
Rien à dire d’autre.
A partir du moment où certains confisquent l’espace public, pour construire fric et notoriété, il ne faut s’étonner que d’autres se sentent en état de légitime défense.
On ne peut pas s’attaquer à l’art contemporain sans se tirer soi même une balle dans la tête !
Balancer ces trucs ineptes par la fenêtre, ils sont comme les chats, ils retombent sans cesse sur leurs pattes.
-La démarche suffit déjà à vous transformer en inculte, en inquisiteur, en bas du front, en beauf :
Plus vous vous énerverez à convaincre les autres de l’escroquerie, plus ’on vous regardera d’un sourire entendu.
-Inutile de sortir que cela n’a rien à voir avec l’impressionniste qui fut un temps ignoré et moqué (éternel marronnier) . Que cela est un sophisme, qu’on ne peut construire une généralité sur une exception conjoncturelle, ces gens ne renonceront jamais à cet exemple qu’il juge éclairant.
- A la limite vous allumerez une lueur d’intérêt quand vous vous attaquerez au discours autour de l’oeuvre, les ficelles à qui l’on accroche : Retirez c’est vrai le cadre sémantique, les mots, le champagne, l’hôtesse roulé comme un Boticelli classique, et il ne reste rien, sinon que des flûtes de champagne vide, et François Pinault avec son carnet de chèques.
- Le mieux, finalement c’est de vanter le geste du profanateur, en faire une suite logique de cette oeuvre d’art, qui a trouvé un grand prêtre, en faisant de l’agit prop autour.
En ce sens, c’est vrai, en la détruisant, il nous montre, qu’avant, elle était bien vivante.
Ce dont, c’est vrai, on doutait.