La meilleur des garanties de liberté serait l’institutionnalisation et la création d’un vrai pouvoir démocratiquement contrôlé et comportant des missions collectives claires -> avoir une politique hygiéniste.
Il est évident que ce n’est pas sans risque et je pense que plusieurs cadres peuvent être mis.
D’autre part il faut séparer le journalisme de l’antenne et faire en sorte de restreindre ces interminables révérences aux confrères (vivants ou morts), car à les entendre, de plus en plus, ils sont d’authentiques et uniques héros (« dehors Domenech ! », un exemple simple, qui ne s’agenouille pas).