J’ai continué a regarder par curiosité…
Phillipe Fabre, n’a pas de racine aristocratique connue, mais comme les autres il est tellement fasciné qu’il se rajoute une particule..d’Eglantine. dans le privé, il est une sorte d’intermittent du spectacle, très porté sur les filles mineures (celle du premier scandale à 15 ans…)
Danton, perd son père tout jeune, sa mère se remarié ( Voir recanatti), il fait un riche mariage d’amour ( 20 000 livre de rente !) mais bénéficie en plus d’une aide soi de Louis XVI soit du Duc d’Orléans pour acheter sa charge d’avocat au conseil du Roi…(marche vers l’anoblissement..),
Marat est le fils d’un capucin siculo sarde défroqué. Son premier roman Le prince Potowski, montre safascination aristocratique.
Médecin auprès du comte d’Artois
1,
10,
11. Dans les
années 1780,
Marat continua de soigner Claire de Choiseul, marquise de l’Aubépine de
Châteauneuf (1751-1794) qui le soutenait financièrement et avec
laquelle il aurait eu une liaison intéressée si l’on en croit les
éditeurs de
Jacques-Pierre Brissot12.
Lorsqu’il était médecin de l’écurie et des pages du
comte d’Artois, frère du roi, Marat essaya vainement de faire reconnaître sa noblesse espagnole et enregistrer un blason
19 que l’on retrouve sur sa correspondance entre 1778 et 1789
20.
« Au 1er de (émail inconnu) à un demi-aigle de (émail inconnu) au vol abaissé mouvant du parti ; au 2e tranché en chef de (émail inconnu), à la bande ou demi-chevron de (émail inconnu), et en pointe de pourpre. Écu surmonté d’une couronne de comte….
Il y en a un qui tranche : Louis Antoine
de Saint-Just
2
est le fils aîné de Louis Jean de Saint-Just de Richebourg (8 novembre
1716-8 septembre 1777), un capitaine de cavalerie décoré de l’
ordre de Saint-Louis,
Enfin, de la vraie noblesse d’épée !
Une belle collection de fils du peuple, d’avant garde du prolétariat et de représentant de la classe ouvrière…
Voila les gars, c’est ça vos grands modèle historiques progressistes….