Bonjour, Alinea.
J’ajoute à cela qu’il y a, paradoxalement, de la beauté dans certaines formes de laideurs. C’est ainsi qu’il m’ait déjà arrivé de flasher sur des usines délabrées, des bois calcinés, et même sur des irisations de marée noire.
A l’inverse, il est des formes de beauté dans l’art (et même chez les êtres humains) qui sont tellement glaçantes qu’elles en deviennent presque repoussantes.
Tout cela pour dire que, définitivement, les notions de beauté et de laideur sont totalement subjectives, au sens où ce mot est compris du commun des mortels.