Il faut des gens comme Malek Boutih ou Lydia Guirous, issus tous deux de l’immigration (vrais chances pour la France contrairement aux autres) pour alerter la gauche sur le vrai niveau de décomposition de l’Etat dans les quartiers. Une gauche (droite coupable également) qui pratique la politique de l’autruche, voire qui instrumentalise la désespérance.