Mais mon brave monsieur, il n’y a plus de sous pour financer le social. On les a donné aux banques qui avaient trop spéculé, pour les sauver, pour qu’elles puissent continuer à acheter des obligations d’état, financer la dette avec l’argent fraîchement imprimée de la BCE.
Chut.. Faut pas le dire... mais l’économie parallèle et souterraine florissante dans les ghettos permet d’arrondir les angles, de limiter la casse et les désordre du chômage de masse, de la sous instruction, de la marginalisation. Faudrait pas que des actions citoyennes nuisent au petit commerce.
D’un autre côté, si il y a des bénévoles qui sont prêts à agir à la place des travailleurs sociaux, on va pas les en empêcher.