« si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s’attendre à un coup de poing, et c’est normal. »
Si c’est bien là ce que le Pape a dit, l’auteur de l’article et tous ceux qui suivent son raisonnement, doivent apprendre à lire et chercher à comprendre ce qu’ils lisent, avant de le critiquer.
Le pape évoque le risque que prend celui qui parle mal, de prendre un coup de poing, mais n’engage en aucun cas quiconque à le donner. Tout au plus est-il permis d’en déduire que le fils puisse réagir avec violence à une insulte faite à sa mère.