« Dire oui à la France, non à Bruxelles »
Dire « Non à Bruxelles », c’est un choix qui est proposé aux électeurs, ce n’est pas négocier avec qui que ce soit. Le FN n’a rien à demander, et ne peut menacer de rien, il n’a pas les nombres et le sait.
"...quelle tête fera-t-il lorsque les partis eurocrates assumés lui diront « N’oubliez pas que 90% des Français n’ont pas voté pour vous ! »
Il n’y aura aucune tête à faire, puisque l’euroracaille ne sera jamais en position de rétorquer cela. C’est Tsipras, pas Marine Le Pen, qui doit aller chez Merkel, la casquette à la main et le cartable au dos, comme il n’y a pas si longtemps, Renzi le Matamore cathodique.
Une autre objection ?