L’obsession de M. Herblay n’est pas de redresser la France en faisant des propositions, elle est de ne surtout pas « déraper » comme ses maitres l’exigent de lui, et de nous tous en réalité.
En bon larbin, il relaie ici la propagandastafel qu’il lui est dictée par ses mandants. Sans doute même n’en a-t-il pas conscience, ayant intégré dans son référentiel politique l’ensemble des présupposés inculqué par l’idéologie dominante.
Exemple typique de servitude volontaire, somme toute pathétique.
Car que veut dire déraper, sinon sortir d’une ligne - la pensée unique - tracée par les commentateurs autorisés ?
Et M. Herblay voudrait de surcroit entrainer l’adhésion des derniers rares hommes (ou femmes) debouts et insoumis ?
Tout le monde n’a pas vocation à vivre à quatre pattes une plume dans le cul, suivant votre exemple, M. Herblay !