Le marché de la musique, c’est comme celui du livre et celui de l’image.
Tout se joue et tout se lit. Tout se photographie ou se peint.
Pour ce qui est de la musique, c’est plutôt le support : le CD qui descend aux enfers.
Pour le texte, c’est l’image qui remplace un long texte par une caricature.
Pour l’image, c’est le numérique qui a blackboulé l’analogique du papier.
Tout se tient par la barbichette.