Effectivement, il peut y avoir contradiction : l’arbitrage est à faire par le législateur, entre le critère de la présence d’enfants scolarisés qu’on peut difficilement envoyer vivre dans leur pays d’origine et le critère du défaut d’assimilation des parents. La matière est loin d’être simple et ne se résoud pas à une opposition régularisation massive/reconduite.
Par ailleurs, le pb de l’acquisition de la nationalité française est autre chose : il s’agit d’une réglementation différente : code civil et la population n’est pas forcément la même.
Frédéric ANTONY