@Vincent Verschoore
Le clinicien qui a eu à travailler avec des schizophrènes paranoïdes connaît hélas bien leur perception délirante du monde extérieur : tout est signal spécialement pour eux, est intentions à leur égard...
C’’est bien pourquoi, définitivement insurgé à partir de 1933, Erwin Schrödinger leur a adressé en 1935 l’apologue narquois du chat ni-mort ni-vivant tant que l’auguste physicien copenhaguiste ne s’est pas penché sur la question. Il s’est ainsi respectueusement foutu de l’auguste gueule des copenhaguistes, qui octante ans après n’ont toujours pas démêlé l’affaire.