Il reste à la Marine la vitesse en nœuds et l’amarrage à la bite, ainsi qu’une gueule de raie qui est une sorte de tête de nœud, et le vit de mulet qui contribue à la bonne tenue de la barre ! Quand à l’aviateur , combien de fois à t-’il tiré sur le manche pour lever la queue de son appareil, tout en observant le sens du vent grâce à une biroute bien orientée. Pendant tout ce temps l’Amiral lui brouille l’écoute avec sa panne de micro...