Bonjour, Pascal L.
« les risques cités ici n’en sont qu’une toute petite partie »
En termes de probabilité, vous avez raison, mais si une catastrophe nucléaire devait se produire au Blayais, elle balaierait toutes les autres causes de mortalité, peut-être pas par le nombre des décès directs, mais par celui des décès induits et par la neutralisation des riches surfaces agricoles et l’évacuation durable de la ville de Bordeaux, située sous les vents dominants d’ouest par rapport à la centrale.