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Fergus Fergus 28 février 2015 23:15

Bonsoir, Piotrek.

« je pense qu’un proche doit apporter son soutien et donc sa connaissance personnelle à son parent malade, c’est une affaire d’humanité que l’on ne peut pas demander au personnel de santé souvent débordé et démuni. »

Pas si simple : le proche peut être en butte à l’agressivité plus ou moins violente d’une personne malade en situation de déni, particulièrement si ce proche, par son regard posé sur la dégénérescence en cours, est un constant rappel que, malgré le déni, la maladie est bien là.

Ce problème n’est évidemment pas aussi crucial avec un encadrement professionnel qui ne subit pas la douleur affective de ce spectacle d’autant plus déprimant qu’il est irréversible.

Vous avez parlé de « cas par cas » pour les soins palliatifs. C’est effectivement comme cela que la question doit être abordée. Mais ce « cas par cas » doit déjà s’imposer avant l’entrée en phase d’Alzheimer sévère.


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