Soyez tranquille, sans les animaux d’élevage, il y aurait (il y aura ?) des villes à la place.
Soyons plus simple : l’homme nuit à l’environnement. OK, et quand on a dit ça, on fait quoi ?
(PS : votre dernier paragraphe est trop nul. Un morceau d’anthologie de bienpensance sirupeuse et d’ignorance. Ca gâche le reste de l’article, propre et factuel)