Bonsoir, Aimable.
On ne gagne rien, évidemment. Et c’est pour cela que, tant qu’à euthanasier un malade en phase terminale et en souffrance (voire définitivement inconscient), on le fait proprement en quelques instants sans infliger à cette personne (même sous sédation) une mort lente de plusieurs jours par défaut de nutrition qui n’a strictement aucun sens car il s’agit de toute façon d’une euthanasie. C’est pourquoi ce texte est faux-cul !