ri@Encabane
Les dépenses publiques croissent avec l’accroissement des richesses produites par ceux qui travaillent pour une production de biens et de services.
Mais elles augmentent moins que les profits ôtés par les plus riches qui retirent ce « lubrifiant » des circuits en boucle de l’économie pour frauduleusement les « dénationaliser » dans des paradis fiscaux avant de les investir dans des économies concurrentes des nôtres ou alimenter la spéculation financière des swaps, subprimes et autres magouilles capitalistes.