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En réponse à :


ddacoudre ddacoudre 2 avril 2015 09:00

bonjour jean

l’on peut se plaindre effectivement des écarts de revenus qui peut exister dans différents domaines, qui visiblement ne se justifie pas par la prestation fournit, mais seulement par le jeu de l’appât du gain pour faire cour. il est certain que dans notre organisation économique en recherche permanente du moindre coût des uns pour un meilleur gain des autres sur seulement des critères suggestifs influencés par la loi du nombre, trouver des règles satisfaisantes ne dépend que de l’acceptation populaire à une époque donné. c’est ainsi que les président de la république bénéficient d’une retraite fixée par la loi des finances datant de 1955 en plus d’avantages particuliers. pour le reste des fonctions que peut occuper un élu ils est soumis aux mêmes disposition que n’importe lequel des citoyens. sa retraite dépendra de la caisse à laquelle il est adhérant et pour laquelle il verse des cotisations directes et indirectes (revenu différé) en plus de la possibilité de souscrire à une caisse complémentaire.
Pour les élus c’est IRANTEC et la Carel comme caisse complémentaire. il ne perçoivent donc que ce qui leur revient de droit, définit par la loi et le versement de cotisation.
il n’y a donc aucune relation à faire entre la politique d’austérité en l’espèce réclamé par le président et sa retraite. tu me pardonneras de te dire que Marianne fait en l’espèce du populisme.
je ne crois pas que la règle soit d’être mendiant pour exercer un mandat d’élu. si les citoyens y trouve dans ces comparaisons une injustice, alors plutôt que de réclamer la diminution des ressources des uns pour apaiser leur propre pauvreté, qu’ils se mobilisent pour réclamer des ressources suffisantes qui les sortent de leur « misère ». Cela me rappelle toujours l’opposition public privé. un temps la fonction publique était le parent pauvre de la vie économique devant les revenus du privé boostés par le plein emploi. puis est arrivé 1977 et le début de la dégringolade des salaires du privé sans que cela n’affecte ceux du public. c’est ainsi que sans rien faire les salaires du public son passé devant ceux du privé, et depuis nous n’avons de cesse de réclamer leur diminution faute dans le privé d’être capable par la peur du chômage de réclamer des augmentations par la lutte. alors penses- tu que les récriminations qui se font sous toutes les formes envers les élus (mêmes si parfois il y a des abus de certains) donneront du courage aux citoyens de s’opposer à la politique d’austérité qui les poussent à se satisfaire de comparaisons médiocres dignes de débats de comptoir, même si on s’appelle Marianne.
C’est la politique des boucs émissaires.
cordialement.


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