Voilà ce qui est écrit dans les conclusions de l’étude INSERM qui a été publié et retenu par SAPIR.
« Même si l’échelle écologique limite l’interprétation causale des résultats, on peut retenir qu’il existe une association significative entre le taux de chômage et le taux de suicide en France entre 2000 et 2010 »
En d’autres termes, il est impossible de dire qu’il y a une relation de causalité. L’association ou la corrélation de ces deux parmètres étudiés est établie, la causalité ne l’est pas. Plus vraisemblablement une cause initiale entraîne à la fois la perte de santé, augmente le risuque de suicide et la perte d’emploi ou la difficulté à en trouver.
Sapir, qui ne cesse de prévoir la fin de l’Euro pour les mois qui suivent depuis des années, devrait être plus prudent. Il sait qu’il manipule les données de l’INSERM.