@ OLi : je suis d’accord avec vous. On s’habitue à certaines formes de violence, pas à d’autres.
Et le serial killer fait partie de ces phantasmes terrifiants, parce qu’il est un prédateur de l’homme. Cette peur est une peur animale, celle de la proie.
Je pense que Violette l’a été au sens littéral en lisant ce livre : l’a-t-elle seulement fini ?
Mais entre American Psycho et un jeu video, il y a un monde.