@Le chien qui danse
Plus facile de disserter du courage de l’homme, ou plutôt, de l’idée de ce qu’on fait du courage, derrière un clavier, qu’attaché au poteau d’exécution.
Il faudrait demander ce qu’il en pense de tout ça au christ, mais lui aussi s’est trouvé bien dépourvu, sur la croix, cherchant du secours qui ne venait pas.
Je suis viscéralement opposé à la peine de mort.
La loi du talion, tout ça, cette merdouille qui nous plonge vers la barbarie. Lisez donc « le dernier jour ’d’un condamné », de victor Hugo, sans doute une bobo qui faisait dans le sentimentalisme, qui ne savait pas ce qu’était un homme.
un homme, un vrai, comme Pinochet, bourreau minable et vaniteux, suffisant, paranoïaque. Toutes les qualités pour donner de la peine de mort à tour de bras.
Un misérable, mais pas vraiment à la façon que le concevait Victor Hugo, précisément.