l’avocat général a quand même proposé la révision mais il n’a pas été suivi...
Le fait que , l’inspecteur Bonny, ait été nommé le meilleur « flic de france » dans les années 30 dans le cadre de l’affaire Seznec, l’affaire Stavisky, et la mort du conseiller « Prince » et ait été ensuite été viré de la Police pour magouilles et prévarication n’est évidemment pas une preuve juridique et un fait nouveau et c’est bien dommage.
Ayant exercé de 1941 à 1944 ses talents « policiers » dans la bande gestapiste de la rue lauriston et fusillé, avec son chef Henri LAFONT, en 1945 au fort de Montrouge pour collaboration avec l’allemagne ne prouve évidemment pas qu’il ait pu « trafiquer » les preuves à charge dans l’enquête sesznec (ex : la machine à écrire).
Ceci bien sûr est tout a fait subjectif et les « vieilleries de l’histoire » n’intéressent plus personne sauf quand sa famille à été touchée.