A Miaou
Il est bien probable que cet article, pour sombre qu’il soit, invite à un rapprochement entre Girard et... Freud de l’Au delà du principe de plaisir. Voir également un bouquin de Melman, plus contemporain : « L’Homme sans gravité », traitant des conséquences du passage d’une économie de la subjectivité basée sur le désir à une autre basée sur la jouissance. Et la logique consumériste, c’est bien de susciter l’emballement à ce niveau là. L’article ne manque pas d’une certaine force pamphlétaire, mais il serait certainement dommage d’y voir une invitation au désespoir.