Mettre son caniche sur écoutes ne présente pas un grand
intérêt. Mais il y a des maîtres qui se délectent des jappements de leurs
caniches et des petits secrets de leurs domestiques.
En attendant, nous avons les pitreries du petit marquis
Fabius, droit dans ses escarpins, qui convoque l’ambassadrice US pour la « tancer » avec civilité, et le quart d’heure téléphonique médiatisé d’un
serviteur docile qui fait mine de sermonner son maître.
Pendant ce temps, les soi-disant républicains aboient mais ne mordent pas, et les socialistes s’aplatissent.