@Samson
La première alternative est un piège pour tout le monde. Le problème grec est fondamentalement lié à la monnaie unique, il est structurel. Sans sortie de l’euro nous reculons pour mieux sauter, dans tous les sens du terme. Ce n’est ni bon pour les grecs, insolvables et qui continuerons de vivre sous perfusion des « aides » de la BCE puisqu’incapables de recouvrer une once de croissance avec l’euro-Mark ; ce n’est pas bon non plus pour les contribuables européens (dont vous êtes a priori), puisque les garants de la dette souveraine de l’Etat grec ce sont eux !
Un defaut partiel sur la dette est absolument nécessaire, puisque de toute façon elle n’est plus soutenable pour la Grèce. Mais il faut conjointement une sortie de l’euro. Sans cela, autant pisser dans le tonneau des Danaïdes. Par ailleurs, l’un n’ira pas sans l’autre, pusique les allemands ne veulent pas entendre parler d’une éventuelle restructuration.